Mon nom est Cassandra California Miles mais tout le monde m’appelle Cali ou Cassie. Je ne suis pas une gosse de bourges qui a grandit avec une cuillère en or dans la bouche, je les déteste cela. Je ne suis pas non plus pleine aux as, à la mort de ma mère je n’ai rien eu de l’héritage parce qu’elle n’en avait pas. Je n’ai pas de parents géniaux qui on chouchoutait leur fille unique en fait, c’était déjà l’horreur avant ma naissance et ma venue au monde n’a rien arrangé. Ma mère était danseuse dans une bar, je vous épargne les détails je pense que tout le monde a compris. Mon père l’a rencontré au bar, c’était un dealeur de drogue a vrai dire. Ils n’ont jamais été capable d’être fidèle l’un à l’autre. C’était juste une amourette d’étudiants qui se cherchaient. Ils n’avaient autres points commun à par la drogue, l’alcool et.. Le sexe sans vous mentir. Moi, j’étais juste une erreur de passage rien de plus. Je suis née un 29 mars au fin fond de la Californie, d’où mon prénom d’ailleurs. J’ai vécue dans une chambre d’hôtel durant treize ans. Ma mère restait à la maison, c’était juste une toxicomane et mon père s’est fait arrêté quand je n’avais que trois ans pour trafic. Il n’a pas eu la chance de me supporter. Je me suis élevée toute seule en fait, j’aimais plus que tout ma mère et ce qu’elle était n’avait aucune importance. L’absence de mon père ne m’a jamais touchée, j’en avais rien à faire. Ma mère décéda d’une overdose quand j’avais treize ans. Ce soir ou je perdis ma virginité, j’étais exactement le portrait craché de ma mère, toujours à faire des conneries avec des gens que je ne connaissais même pas. Je n’avais pas une tonne d’amis, aucunes filles en tout cas. J’ai toujours préféré trainer avec des garçons, aller savoir pourquoi. Ce mec, je ne le connaissais pas, je ne connaissais que son prénom à vrai dire, pauvre con bourré c’est tout. A la mort de ma mère je fus placée dans une famille d’accueil. Le rêve américain, belle petite maison de personnes très aisées qui avait une fille modèle du même âge que moi. On aurait pu croire qu’après tout ce que j’avais traversé, tout ce que j’avais enduré, ces gens seraient parfaits pour moi. Je n’ai pas ouvert la bouche pendant un an. Je me contentais d’avoir de bonnes notes en cours et eux me laissaient sortir quand je voulais. J’étais inscrite à Harvard, c’est là que je rencontrai une nouvelle bande d’amis… que des mecs pour changer --’. L’un eux, mon meilleur ami, c’était lui le pauvre con bourré. Avec eux je me sentais à ma place, ils étaient comme moi, toxicos jusqu’aux dents. Quand ma nouvelle famille sut que j’étais une droguée, que j’avalais n’importe quels médocs, que je fumais ce que je trouvais et que je buvais ils m’envoyèrent dans un centre de désintoxication. J’y suis restée jusqu’à mes dix neuf ans, deux longues années enfermées sans rien prendre. J’ai eu de ma chance que ma famille d’accueil me garde. C’était vraiment des gens biens. Aujourd’hui je suis de retour à Harvard enfin maintenant c’est devenue Harvard. J’ai retrouvé mes nouveaux amis et je recommence mes conneries. Je fais la mur la nuit, je fume, je bois, je me drogue et côté cœur c’est au point mort. Je suis célibataire, coup d’un soir mais pas plus. Les relations longues durées ce n’est pas fait pour les personnes comme moi.

Quel est mon comportement, mon caractère. Je suis toujours sur un petit nuage mais je ne me laisse pas faire. Quand j’ai quelque chose à dire je le dis c’est tout. Je ne suis pas fidèle, je ne suis pas une jeune fille modèle je suis juste une toxico. J’en suis fière, je ressemble à ma mère. Quand je rentre chez moi c’est différent, je suis une fille modèle. J’essaye de bien m’entendre avec ma « demi-sœur » que je ne peux pas voir, je fais mes devoirs et je fais ce que l’on me dit. Quand je sors tout change. Je déteste les gosses de bourges et la famille, c’est quoi à près tout la famille, des gens qui sont forcés de vous aimez ? Non, ce n’est pas moi ça. Je tiens seulement à mes amis, mes vrais. Mon meilleur ami, ma meilleure amie et toute la petite bande. Physiquement, je suis plutôt petite et avec tout ce que je prend je dirais fine de taille (non, je ne me fais pas vomir, c’est les médocs qui me font vomir). Je suis brune et je le reste, j’ai les cheveux ondulés aussi. Mes yeux, ça c’est quelque chose. Couleur bleu gris, je les fais tous tombés on dirait, rien à foutre. Je m’habille provoquant c’est vrai mais, je n’y peux rien c’est dans ma nature, je ne le fais même pas exprès. Je met un beau petit haut sage avec un jean et je change tout ça avant d’arriver à l’université. Les profs n’en ont rien à faire de toute façon. Je suis gentille, c’est vrai quand je le veux je le suis. Je ne suis pas sociable c’est surement pas, à par la bande je n’ai pas vraiment d’amis. A penser que les étudiants ont peur des gens comme nous, on est pas censé être tous égaux ? Bref, finit de débatre si tu veux en savoir plus sur moi essaye de venir me parler, pas sur que je répondrais par contre.